Tout est à inventer à Kaboul. Tout est à repenser. Et ce sera la tâche, non seulement des Afghans, mais de la coalition internationale.
BHL évoque pour « Marianne » ses prises de positions sur l’Amérique, la gauche, les droits de l’homme, l’argent, Sarkozy, etc.
L’assassinat du général Abdelfattah Younès est un événement majeur. Mais cela ne peut servir à discréditer les insurgés.
Le fondamentalisme n’est pas vaincu. Mais il vient de connaître sa première vraie défaite militaire : c’est le commencement du reflux.
Il manquait la biographie exhaustive, détaillée, de Massoud. Michael Barry comble ce manque avec « Massoud, de l’islamisme à la liberté ».
Avant d’attaquer l’Irak. Ostrowski et le Soudan. David Gritz à Jérusalem. Renaud Camus persiste. Robbe-Grillet sur le berceau de Laurent Fabius ?
La débâcle des talibans et la victoire éclair d’une stratégie militaro-politique à l’habilité insoupçonnée pour bon nombre d’observateurs.
La guerre en tant que telle est, par principe aussi, une abjection. Mais, cela étant posé, on pourrait faire le raisonnement inverse...
Et si les GI libéraient l’Afghanistan ? Gare à l’antiaméricanisme. Le retour du Céline des pamphlets antisémites.
Premier bilan de cette guerre imbécile, improvisée, dont les buts changent au gré des humeurs, des circonstances, des sondages.
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